SOMMAIRE
- Réalisation du site :
11 août 2023
Toute plante qui, pour des raisons diverses, se répand dans une nouvelle zone en s’y avérant parfois indésirable pour l’Homme, encore appelée mauvaise herbe.
Secteur d’activité, qui a pour objet la transformation de produits issus de l’agriculture, de l’élevage ou de la pêche, en produits alimentaire finis.
Substance capable de créer une réaction allergique, le pollen fait partie des allergènes.
Réaction anormale de l’organisme au contact de substances extérieures appelées allergènes.
Correspond à l’existence chez un même individu de réactions allergiques causées par deux substances différentes ayant une structure proche.
Écart entre la température minimale et température maximale au même endroit, pendant une durée de temps déterminée.
Désigne la fécondation des plantes à fleur dont le transport du pollen se fait par le vent.
Extrémité de l’étamine, organe mâle de la fleur, qui produit et renferme le pollen.
L’anticorps est une protéine sécrétée par le système immunitaire, servant à détecter et neutraliser les substances étrangères à l’organisme, les « igE » (immunoglobuline de type E) constituent une catégorie d’anticorps spécifiques dirigés contre les allergènes et parasites.
Médicament qui sert à réduire ou à éliminer les effets de l’histamine, molécule libérée par le corps au cours d’une réaction allergique, ce qui permet d’atténuer les symptômes allergiques.
Désignent les éléments du grain de pollen qui permettent l’émission du tube pollinique.
Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique.
Désigne l’ensemble des organes qui permettent la respiration, c’est-à -dire les échanges gazeux entre l’organisme et l’air de son environnement.
Plante terrestre qui possède une structure rigide très développée, composée d’un tronc, qui peut éventuellement se ramifier en formant des branches.
Maladie définie comme étant une gêne respiratoire chronique à l’expiration touchant les voies respiratoires hautes et notamment les deux bronches, phénomène de constriction des voies respiratoires ce qui amène des épisodes d’essoufflement.
Réseau de surveillance de la qualité de l’air du Nord-Pas-de-Calais.
Désigne l’enveloppe gazeuse entourant la Terre, composée de diazote (78%), de dioxygène (21%), de gaz rares (argon, néon, hélium…) (1%) mais aussi de la vapeur d’eau et du dioxyde de carbone.
Prédispositions génétiques (tendance familiale héréditaire à développer certaines formes d’allergie).
Désigne la diversité du monde vivant à tous les niveaux (diversité des milieux, diversité des espèces, diversité génétique au sein d’une même espèce), appelée aussi diversité biologique.
Médicament utilisé pour traiter ou prévenir la bronchoconstriction, c’est-à -dire la contraction anormale des muscles des bronches, il agit en dilatant les bronches pour améliorer la respiration (utilisé en cas d’asthme par exemple).
Recueil du nectar et du pollen des fleurs, les abeilles sont des butineuses.
Partie externe de la fleur, constitué par l’ensemble des sépales et des pétales, a un rôle protecteur de la fleur.
Unité structurale, fonctionnelle et reproductrice constituant tout ou partie d’un être vivant (à l’exception des virus).
Changement évolutif d’un des traits d’une population survenant en réponse à une pression sélective d’une deuxième population.
Insecte qui possède quatre ailes, dont deux modifiés en élytres totalement kératinisées les rendant impropres au vol.
Désigne la partie de la fleur formée par l’ensemble de ses pétales ou de ses tépales.
Désigne à la fois une hormone naturelle secrétée par l’Homme et un médicament anti-inflammatoire prescrit notamment contre les allergies.
L’agriculture biologique est un système de production agricole basé sur le respect du vivant et des cycles naturels, qui gère de façon globale la production en favorisant l’agrosystème mais aussi la biodiversité, les activités biologiques des sols et les cycles biologiques.
Informations relatives aux périodes de pollinisation des arbres et herbacées (périodes pendant laquelle les personnes sont exposées aux pollens et peuvent avoir des réactions allergiques).
Maladie de la peau formant des plaques de croûtes suintant et irritant, souvent d’origine allergique.
Désigne la fécondation des plantes à fleur dont le transport du pollen se fait par les insectes.
Protéine disposant d’un grand pouvoir catalytique, facilitant le métabolisme des molécules produites par les gènes.
Organe mâle chez les végétaux à fleur formé d’une partie allongée (le filet) qui supporte une partie renflé renfermant le pollen.
Stade de reproduction sexuée des végétaux, consistant en l’émission d’un tube pollinique émis par le grain de pollen permettant de conduire les gamètes mâles jusqu’à l’ovule.
Stade de reproduction sexuée des végétaux, consistant en l’émission d’un tube pollinique émis par le grain de pollen permettant de conduire les gamètes mâles jusqu’à l’ovule.
Fécondation pendant laquelle le pollen d’une fleur se dépose sur les stigmates d’une autre fleur de la même espèce.
Vésicule d’exocytose (composant du cytoplasme) contenant en particulier les enzymes responsables des allergies au pollen chez l’Homme.
Ensemble de rencontres politiques organisées en France en septembre et octobre 2007, visant à prendre des décisions à long terme en matière d’environnement et de développement durable.
En opposition aux plantes ligneuses (arbres), qui est de la nature de l’herbe.
Bulletin de prévision du risque allergique aux pollens, comme pour la météo, le risque allergique est différent d’une zone géographique à une autre.
Bulletin de prévision du risque allergique aux pollens, comme pour la météo, le risque allergique est différent d’une zone géographique à une autre.
Liquide sécrété par les nectaires de plantes, recueilli par les abeilles, il sert de matière première au miel.
Nom du gamète femelle chez les végétaux, on parle d’ovule chez les animaux.
Aspect à la surface de l’exine du grain de pollen (taille, forme, texture), propre à chaque pollen. L’ornementation permet d’identifier au microscope de l’espèce ou la famille à laquelle appartient le pollen.
Cavité close du pistil qui abrite les ovules des plantes à fleurs, après fécondation, permet la production des fruits du végétal.
Ensemble des caractéristiques génétiques, dont hérite un individu.
Pièce de la fleur en forme de tige qui porte les fleurs puis après fécondation les fruits, appelée aussi queue.
Substance répandue sur une culture pour lutter contre des organismes considérés comme nuisibles comme les mauvaises herbes ou les insectes.
Chacun des éléments foliacés généralement colorés qui composent la corolle de l’appareil reproducteur d’une fleur.
Étude de phénomènes périodiques dans le monde vivant comme l’influence du changement climatique sur la floraison par exemple.
Organe femelle chez les végétaux à fleur sur lequel viennent se déposer les grains du pollen pour féconder la fleur.
Plante portant des fleurs avec les organes de deux sexes (étamines et pistil).
Plante qui fabrique de la lignine, macromolécules organiques donnant à la plante sa solidité.
Famille botanique (Poaceae), également appelé graminée, regroupe près de 12 000 espèces, notamment les « herbes » et les « céréales ». Ex. dactyle aggloméré, chiendent rampant, ray-grass, maïs, blé…
Grain microscopique libéré par les végétaux qui vont permettre aux plantes de se reproduire, élément fécondant mâle de la fleur.
Désigne les insectes permettant de transporter le pollen de la fleur sur son propre stigmate ou sur celui d’une autre fleur afin de la féconder (pollinisation entomophile), il s’agit principalement des abeilles.
Période de reproduction des végétaux pendant laquelle le pollen est transporté vers le pistil de la même fleur ou d’une autre fleur, cette période d’émission du pollen est également responsable des réactions allergiques qui se déclarent chez l’Homme.
Période de reproduction des végétaux pendant laquelle le pollen est transporté vers le pistil de la même fleur ou d’une autre fleur, cette période d’émission du pollen est également responsable des réactions allergiques qui se déclarent chez l’Homme.
Introduction par l’Homme, dans l’atmosphère et les espaces fermés, de substances ayant des conséquences nocives sur la santé humaine et les ressources naturelles. Art l.220-2 Code de l’Environnement.
Capacité d’espèce végétale à déclencher des réactions allergiques en fonction de leur nature, définie sur une échelle de 0 (nul) à 5 (très élevé).
Comportement anormal du corps face à une substance extérieure (nez qui démange/coule, toux, éternuement, gênes respiratoires, gonflements, irritations, etc.).
Extrémité du pédoncule floral sur lesquelles sont insérées toutes les pièces de la fleur (calice, corolle, étamine, pistil).
Désigne l’augmentation de la température moyenne à la surface de la planète sur plusieurs années, tels les polluants rejetés dans l’air par les activités humaines, on parle aussi de dérèglement climatique 90%.
Processus par lequel un individu donne naissance à deux ou plusieurs individus de même sexe sans intervention de phénomènes sexuels (reproduction sans pollen). Chez les plantes, la multiplication végétative naturelle des végétaux permet de former de nouvelles plantes à partir de tiges rampantes = stolons (fraisier), de tiges souterraines =rhizomes, tubercules, de racines tubéreuses ou traçantes (dahlia) ou encore de bulbes (jonquille).
Phase de reproduction des fleurs bisexuées (possédant étamines et pistil), qui se reproduisent grâce à la pollinisation (transport du pollen des étamines sur le stigmate du pistil et fécondation), la reproduction sexuée peut se faire entre deux fleurs et au sein d’une même fleur, dans ce dernier cas, on parle d’autofécondation.
La rhinite allergique provoque inflammation des muqueuses nasales qui se manifeste par le nez qui démange, qui coule et/ou qui est bouché, des éternuements et la perte de l’odorat (plus rarement) et la conjonctivite provoque, dans le cadre des pollens, on parle de rhume des foins.
La rhinite allergique provoque inflammation des muqueuses nasales qui se manifeste par le nez qui démange, qui coule et/ou qui est bouché, des éternuements et la perte de l’odorat (plus rarement) et la conjonctivite provoque, dans le cadre des pollens, on parle de rhume des foins.
Caractérise l’exposition au pollen, c’est à dire à la quantité de grains de pollen dans l’air en fonction des saisons, de la météo et de la situation géographique, défini sur une échelle de 0 (nul) à 5 (très élevé).
Désigne les compartiments de l’anthère de la fleur, referment les grains de pollen.
Élément foliacé entourant les pétales de la fleur, souvent vert, l’ensemble des sépales de la fleur constitue le calice de la fleur.
Signe médical, interprétation objective de l’observation d’un sujet par un médecin afin de définir une pathologie.
Regroupe les oreilles, le nez, la gorge (larynx et pharynx) et les yeux.
Regroupe les oreilles, le nez, la gorge (larynx et pharynx) et les yeux.
partie supérieure du pistil de la fleur qui reçoit les grains de pollen lors de la fécondation
Pièces florales externes et internes du périanthe (structure qui protège les organes reproducteurs de la fleur), dont on ne peut pas dire s’il s’agit de pétales ou de sépales.
Tube émis par un grain de pollen qui permet aux deux gamètes mâles d’atteindre l’ovule pour la fécondation.
Famille de végétaux, généralement des plantes herbacées, qui comprend plus de 2000 espèces et dont la pollinisation se fait par le vent. Ex. ortie (non allergisant), pariétaire (allergisant).
Maladie de la peau provoquant démangeaisons ou des sensations de brûlure, se manifestant par des plaques blanchâtres ou rougeâtres.
Système gastro-intestinal (ou appareil digestif) ou système d’organes des animaux pluricellulaires qui prend la nourriture, la digère pour en extraire de l’énergie et des nutriments, et évacue le surplus en matière fécale.
Parties des organes situées dans le haut de l’appareil respiratoires (nez, sinus, pharynx, larynx et trachée), les voies respiratoires basses regroupe les parties des organes situées dans le bas de l’appareil respiratoire (poumons, bronches, alvéoles).